…J’ai vu que dans toute grande entreprise, il ne suffit pas qu’un homme dépende simplement de lui-même.
Je ne sais pas comment sauver le monde. Je n’ai pas la réponse. Je ne détiens aucun secret sur la manière de réparer les erreurs des générations passées et présentes. Je sais seulement que sans compassion et sans respect pour tous les habitants de la Terre, aucun d’entre nous ne survivra – et nous ne le mériterons pas.
Lorsque les vertes collines seront couvertes de fils parlants et que les loups ne chanteront plus, à quoi servira alors l’argent que vous avez payé pour notre terre ?
Chez les peuples traditionnels, la richesse se mesure par le fait d’avoir assez pour donner.
Il n’y aura jamais de paix entre les nations tant que l’on ne saura pas que la véritable paix se trouve dans l’âme des hommes.
Lorsque le sang de vos veines retournera à la mer, et que la terre de vos os retournera au sol, peut-être vous souviendrez-vous alors que cette terre ne vous appartient pas, mais que c’est vous qui lui appartenez.
Il y a une bataille de deux loups à l’intérieur de chacun d’entre nous. L’un des loups est mauvais, il représente la colère, la jalousie, l’avidité, le ressentiment, les mensonges, l’infériorité et l’ego. L’autre loup est bon, il représente la joie, la paix, l’amour, l’espoir, l’humilité, la gentillesse, l’empathie et la vérité. Le loup qui gagne est celui que vous nourrissez.
Oh, Grand Esprit, dont j’entends la voix dans les vents et dont le souffle donne vie au monde entier, écoute-moi. Je suis petit et faible. J’ai besoin de ta force et de ta sagesse.
Grand-père Grand Esprit, remplis-nous de lumière. Donne-nous la force de comprendre et les yeux pour voir. Apprends-nous à marcher sur la terre douce en tant que parents de tous ceux qui vivent.
Les arbres sont nos aînés, ils se tiennent en silence, offrant ombre, abri et souffle de vie à tous ceux qui vivent sous leurs branches.
La vocation suprême de la femme est de conduire l’homme à son âme afin de l’unir à la source. La vocation suprême de l’homme est de protéger la femme pour qu’elle soit libre de marcher sur la terre sans être blessée.
Lorsque quelqu’un vous manque beaucoup, il vous fait souvent un signe Cherchez un papillon, une plume, une pièce de monnaie, une chanson. Ils sont toujours avec vous, soyez attentifs.
Et tandis que je me tenais là, j’ai vu plus que je ne peux le dire et j’ai compris plus que je n’ai vu, car je voyais d’une manière sacrée les formes de toutes les choses dans l’esprit, et la forme de toutes les formes telles qu’elles doivent vivre ensemble comme un seul être.
Pour nous, le guerrier est celui qui se sacrifie pour le bien des autres.
Je n’ai pas peur de mourir. J’ai peur de vivre à genoux dans un monde dirigé par des personnes malveillantes qui décident du sort de mes enfants.
Les rivières ne se contentent pas de couler, elles transportent les chants de la terre et les rêves de ceux qui nous ont précédés.
Les personnes en colère veulent que vous voyiez à quel point elles sont puissantes. Les personnes aimantes veulent que vous voyiez à quel point vous êtes puissant.
La justice est comme un arbre ; elle met du temps à pousser, mais son ombre vaut la peine d’être attendue.
Si vous cherchez la paix, marchez doucement sur la terre et dans le cœur des autres.
L’amour est au centre de tout. C’est l’esprit qui se déplace à travers toutes les choses.
Il n’y a pas de place pour la jalousie dans mon cercle, nous ne nous méprisons pas les uns les autres, nous nous protégeons les uns les autres.
La Piste des Larmes s’est étendue dans la nuit, mais nos esprits ont éclairé le chemin.
Lorsque vous doutez, restez tranquille, et attendez que le doute n’existe plus pour vous, puis allez de l’avant avec courage. Tant que les brumes vous enveloppent, restez tranquille, restez tranquille jusqu’à ce que la lumière du soleil se répande et dissipe les brumes… comme elle le fera certainement. Puis agissez avec courage.
Une famille est comme une forêt : Quand on est à l’extérieur, elle semble dense ; quand on est à l’intérieur, on voit que chaque arbre a sa place.
Lorsque je regarde les yeux d’un animal, je ne vois pas un animal, je vois un être vivant, je vois un ami. Je sens une âme.
Vous devez apprendre à vos enfants que le sol sous leurs pieds est la cendre de vos grands-pères. Pour qu’ils respectent la terre, dites à vos enfants que la terre est riche de la vie de nos proches. Enseignez à vos enfants ce que nous avons enseigné à nos enfants, à savoir que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. Si les hommes crachent sur le sol, ils crachent sur eux-mêmes.
Où que vous alliez, quel que soit le temps, apportez toujours votre propre soleil.
Un enfant est un cadeau du créateur. Élevez-le avec amour et enseignez-le avec sagesse.
Dans chaque goutte d’eau, il y a une histoire de vie.
Les guerriers ne sont pas ce que vous pensez être des guerriers. Le guerrier n’est pas quelqu’un qui se bat, car personne n’a le droit de prendre une autre vie. Pour nous, le guerrier est celui qui se sacrifie pour le bien des autres. Sa tâche consiste à prendre soin des personnes âgées, des personnes sans défense, de celles qui ne peuvent pas subvenir à leurs besoins et, surtout, des enfants, l’avenir de l’humanité.
Recherchez la sagesse, pas le savoir. La connaissance appartient au passé, la sagesse appartient à l’avenir.
Lorsque vous trouvez la paix en vous, vous savez que vous avez trouvé le chemin.
Nous les avions prévenus qu’un jour ils ne pourraient plus contrôler ce qu’ils avaient créé. Ce jour est arrivé.
Le fleuve est notre frère, il étanche notre soif et nourrit nos âmes.
Lorsque le dernier arbre est abattu, la dernière rivière empoisonnée. Le dernier poisson pêché. Alors seulement l’homme blanc découvrira qu’il ne peut pas manger d’argent…
Il s’agit de remonter le moral des autres, le bon remède que nous avons tous en nous.
Grand-père dit : « Si tu te sens impuissant, c’est parce que tu as cessé d’écouter ton propre cœur, c’est de là que vient la force ».
L’Indien n’a pas besoin d’écrits ; les mots qui sont vrais s’enfoncent dans son cœur où ils restent en silence. Il ne les oublie jamais.
Nous n’avons pas besoin de guérir la Terre, elle peut se guérir elle-même. Tout ce que nous avons à faire, c’est d’arrêter de la rendre malade.
J’ai pu constater que les Blancs ne se souciaient pas les uns des autres comme le faisait notre peuple… Ils se prenaient tout s’ils le pouvaient… Certains… avaient plus de choses qu’ils ne pouvaient en utiliser, tandis que des foules de gens n’avaient rien du tout… Cela ne pouvait pas être mieux que les anciennes coutumes de mon peuple.
Ursprünglich bevölkerten mehr als 20 Millionen Indianer, verteilt auf mehr als 1.000 verschiedene Stämme, Gruppen und Ethnien, den amerikanischen Kontinent.
Ne suivez jamais un dirigeant qui aime davantage le pouvoir que les gens.
Que les vents chauds du ciel soufflent doucement sur votre maison Que le Grand Esprit bénisse tous ceux qui y entrent Que vos mocassins fassent des traces heureuses dans de nombreuses neiges Et que l’arc-en-ciel touche toujours votre épaule.
Le Grand Esprit est partout, il entend tout ce qui est dans notre esprit et dans notre cœur, et il n’est pas nécessaire de lui parler d’une voix forte.
Considérez le Ciel comme votre Père, la Terre comme votre Mère et toutes les choses comme vos frères et sœurs.
Tout sur Terre est emprunté… Il n’y a pas de “Mien” ni de “Votre”… il n’y a que le “Nôtre”… Même le Temps est emprunté. Nous tuons pour un morceau de terre qui n’appartient qu’à notre mère la Terre. Tout ce que vous possédez avec lequel vous êtes venu sur Terre… et avec lequel vous repartez… est votre Esprit.
Je suis un homme rouge. Si le Grand Esprit avait voulu que je sois un homme blanc, il m’aurait fait zo dès le départ. Il a mis dans ton cœur certains désirs et projets, dans mon cœur il a mis d’autres désirs. Chaque homme est bon à ses yeux. Il n’est pas nécessaire que les Aigles soient des Corbeaux.
Je salue la lumière qui se trouve dans vos yeux, là où réside l’univers tout entier. Car lorsque tu seras en ce centre en toi et que je serai en ce lieu en moi, nous ne ferons plus qu’un.
